Par Ouï-dire

« Solène est abasourdie par la réalité d’un geste qu’elle ignorait pouvoir commettre. Elle est abasourdie par la colère sourde qui l’a lentement fait venir, le rendant nécessaire. C’est après la colère. La parole de Solène prend forme dans la forêt au coeur de la fatigue. C’est une parole vive, parfois violente, par laquelle Solène se ressaisit et s’abandonne tour à tour dans l’odeur acide des fougères. » Un texte, une réalisation de Laurent Georjin