Villa Medici

Emma Lidia Squillari (auteure jeunesse) et Bernadette Vincent (Institut Français, Ambassade de France)"Atelier jeunesse proposé à la Villa Médicis le 18 mai au matin, lecture atelier de l'album "Dans l'oeuf". Bernadette Vincent rencontre Emma Lidia Squillari dans la loggia de la Villa"Reportage : Bernadette VincentRéalisation : Maryline Albert et Bertrand Chaumeton

Didier Fassin - Les sciences sociales en temps de crise: économies morales entre compassion et répressionVendredi 17 mai 2019 à la Sapienza, département des sciences sociales et économiquesIntroduction: Tito MarciAvec : Michela Fusaschi, Luca Salmieri, Florence CourriolConférence organisée dans le cadre du festival 'Les Rencontres littéraires de la Villa Médicis - D'une langue à l'autre'

La voix de Caroline Ruiz nous emmène à la rencontre d’une statue de René Frémin, à la Villa Médicis. Son récit nous fait passer par la France, l’Italie et l’Espagne, bercés par la musique baroque, scrutant le marbre de la Vénus aux vases décorés de bélier.

La storia è stata a lungo silente. Oggi, gli storici prendono sempre più in conto i sensi, e in particolare l’udito, nel loro studio del passato: storia culturale dei sensi in Francia, facendo seguito ad Alain Corbin, Sound Studies nei paesi anglosassoni. Questo nuovo campo della ricerca, multiforme, rinnova l’approccio delle società antiche interessandosi ai loro suoni, alle loro forme di ascolto, alla loro cultura sonora. Come studiare, da storico, i suoni del passato? Quali fonti possono darvi accesso? Cosa ci insegnano delle società di cui essi costituiscono il contesto sensibile? La serata, sull’iniziativa di Pauline Lafille, storica dell’arte borsista all’Accademia di Francia a Roma, riunisce due ricercatrici che hanno sviluppato una forma di studio sensoriale della storia.•••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••L’archeologia sonora: Dialogo con Mylène PardoenMylène Pardoen è archeologa sonora presso il CNRS e la Maison des Sciences de l’Homme de Lyon. Dopo avere intrapreso una carriera militare, ell

21 février: Fugace, stridente, fragile, l’éternité des soulèvements révolutionnaires.Rencontre avec Sophie Wahnich et Sasha J. BlondeauQuoi de plus fugace qu’un soulèvement qui s’arrache aux forces gravitationnelles de la structure ? Et pourtant quelque chose s’inscrit alors comme expérience indélébile pour l’être qui l’aura traversé. Cela fait trace, voire trésor, mais un trésor toujours difficile à transmettre, « trésor perdu » disait Hanah Arendt en relisant René Char et ses Feuillets d’Hypnos. « Notre héritage n’est précédé d’aucun testament ». Grand désarroi.Lorsqu’elle relit l’énoncé du poète résistant quinze ans après la fin de la seconde guerre mondiale, elle affirme que « l’artiste (Sasha J. Blondeau, musicien), le poète et l’historien (Sophie Wahnich, historienne de la période révolutionnaire française) » sont des « bâtisseurs de monuments ». Ils seraient ceux qui pourraient prendre en charge la brèche du temps entre le passé et le futur, prendre en charge cette difficulté à faire jouer son propre h